Selon une étude, le paysage est un mot protéiforme : il recouvre des réalités très différentes. Comment traduire ce foisonnement, cette fragmentation d’espace ? J’aime me hasarder, et découvrir une cartographie autrement. Le végétal est toujours présent. Au sein du parc naturel de la Brière, puis en prolongeant cette étude à travers le boccage, les landes, le littoral, de nombreuses questions me sont apparues. Une perception de l’évolution de ces masses, en mutation constante, des rythmes différents. Comment explorer ces différents univers insulaires, et les mondes imaginaires de ces espaces ? Traduire un instant ou un début, une fin de journée ? |